" Di Rosa magazine"
" Di Rosa magazine"
Par DI ROSA Hervé
Signée dans la planche en bas à droite,
Format papier 95 x 64 cm.
Technique | Sérigraphie |
Format | 102 x 70 cm |
Authentification | Avec certificat |
L'artiste DI ROSA Hervé
Hervé Di Rosa né à Sète en 1959 dans le sud de la France, fut un des principaux artisans du mouvement artistique français de la "Figuration Libre", en 1978, il quitte sa ville natale pour Paris, où il s'installe avec son ami peintre Robert Combas. Ils ont renouvelé la peinture dans les années 1980, une peinture décomplexée voit le jour, empruntant souvent à la BD, au Punk-Rock, au Graffiti mais aussi à la Science-fiction, à la publicité et à la télévision ( des images simples et colorées.).
Di Rosa s'inscrit à l'Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs et en 1980, premières publications de ses oeuvres dans des magazines français. Il vit et travaille à Paris mais parcours le monde (Mexique, Etats-Unis...) a la recherche de nouvelles inspirations et aussi pour exposer dans de nombreuses galeries étrangères.
Durant ses voyages dans les pays étrangers, il réalise des oeuvres en s'inspirant de la culture du pays dans lequel il se trouve et en utilisant leurs moyens d'expression ( Peintures sur peaux de zébu ou d'agneau tendues en 1995 en Ethiopie, Travail de la technique de la laque et de la nacre au Viet-Nam en 1995 dans l'atelier du maître laqueur Lê Nghieêm à Binh Duong....).
En 2000, à Sète, s'ouvre le Miam, le Musée International des Arts Modestes, projet pensé et réalisé par Di Rosa. Le principe en est d’exposer tout objet qui aura été pensé, dessiné et fabriqué et que l’Art Modeste considère donc comme une oeuvre d'art à part entière.
"Un critique avait trouvé le nom de Figuration Libre pour nous qualifier à nos débuts (Di Rosa, Combas, Blanchard, Boisrond...), et ça ne m’a jamais satisfait et ça m’horripilait même. Libre, d’accord, mais figuratif, je m’en branle. Mais je n’avais rien trouvé de mieux. Et l’art modeste, je l’ai trouvé il y a pas longtemps pour définir toutes ces choses qu’on défendait. C’est venu après l’expo Viva Di Rosa au musée d’art moderne (1990), il y a deux ans, où des centaines de jeunes sont passés ; et à un moment une petite fille a dit : « C’est bien, quand est-ce qu’on retournera à l’art modeste ? ». Putain, c’était juste ! Le lapsus était très bon. C’était LE nom ! Je l’ai inventé en le piquant." Hervé Di Rosa.
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