"L'arlequin au tambour"
"L'arlequin au tambour"
Par VALTIER Gérard
DIRECT ARTISTE
Technique | Huile sur panneau |
Format | 90 x 130 cm |
Authentification | Avec certificat |
Visible à | Lille, Paris et France entière sur rendez-vous |
L'artiste VALTIER Gérard
Gérard VALTIER est né en 1950 à Philippeville.Il étudie à l'École des Beaux-Arts de Reims.Son style est: post impressionniste, intimiste.Expositions en France: Paris, Le Castellet, Honfleur, Lille, Strasbourg, Saint-Paul de Vence.
Expositions à l’étranger: Chicago, Miami, Dallas(Etats-Unis), Florence, Naples(Italie), Budapest(Hongrie), Vienne(Autriche), Munich(Allemagne).
Prix et récompenses: Prix des 2 Amériques (1992), Prix Art Matignon, Médaille d’or de l’académie mondiale des Beaux-Arts(New-york), prix des Arts, des Sciences et Lettres de l’académie Toscane.
Gérard Valtier: l'incandescence de la lumière
Cet artiste sait tout peindre : des péniches à quai, les foules animées, Venise et son carnaval, la mariée et son cortège... Toute sa peinture est placée sous le signe de la fête. Son art est celui de la suggestion par la couleur et la lumière. Le choix des couleurs de ses compositions est d'ailleurs destiné à évoquer la lumière par les contrastes et les nuances, davantage que par l'imitation des couleurs effectivement perçues.
Se concentrant sur les couleurs primaires (rouge, jaune, bleu) et d'une ou deux secondaires (orange, violet) qui, mélangées, donnent une large gamme de nuances brillantes, l'artiste reste techniquement fidèle aux impressionnistes. De même, le peintre utilise le blanc de Céruse, très prisé des impressionnistes.
Comme Renoir ou Cézanne, Gérard Valtier n'hésite pas à utiliser le noir comme couleur en soi et non pas pour atténuer ou ternir la couleur pure, par exemple dans les ombres.
L'opposition de couleurs essentiellement naturaliste du jaune-bleu, caractéristique de la palette impressionniste engendre une impression d'éblouissement qui émet sa propre lumière sans pour autant imiter directement les effets naturels de la lumière.
A travers le “désordre cohérent" de touches fiévreuses, ces tableaux traduisent la houle de notre inconscient.
B. Quentin
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